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LES BREVES DE SUD QUOTIDIEN SUR SENEPLUS.COM

ORGANISATION DE LA PRESIDENTIELLE DE 2017 : Monsieur élections divise la classe politique
Peut-on organiser au Sénégal des élections régulières et transparentes avec un ministre de l’Intérieur appartenant au pouvoir en place ? Apparemment, la question ne semble pas se poser pour une bonne partie de l’opposition politique qui réclame vaille que vaille la nomination d’une personnalité neutre pour organiser les élections à venir, notamment la présidentielle de 2017. Peut-on d’ailleurs lui en tenir rigueur quand on sait qu’au Sénégal, les deux seules alternances politiques à la tête de l’Etat (2000 et 2012) ont été pilotées par deux «Monsieur Elections» indépendants. En l’occurrence, le Général Lamine Cissé et l’Inspecteur d’Etat Cheikh Guèye ? En tout cas, à moins d’une année de la prochaine présidentielle, cette question d’une personnalité neutre pour organiser le processus électoral divise de plus en plus la classe politique comme les analystes du sérail. Quand bien même la nécessité du consensus, pour booster le jeu démocratique, s’impose de plus en plus à tous !

ME FRANÇOIS SERRES ET LA PLADH Chargent SIDIKI KABA : «C’est un manipulateur…» au service «des parties civiles…»
Me Sidiki Kaba «est un manipulateur» qui a longtemps troqué «ses habits de ministre de la Justice» contre ceux «d’avocat des parties civiles, des prétendues victimes». C’est Me François Serres, qui prenait part à la conférence de presse de la Plateforme africaine pour la défense des droits de l’homme (Pladh) hier, dimanche 26 juillet à Dakar, qui répond ainsi au ministre de la Justice. Suffisant pour que la Pladh invite le Garde des Sceaux à cesser toute ingérence dans le fonctionnement des Chambres africaines extraordinaires dont elle réclame la dissolution parce qu’«incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable» et la libération du président Habré.

LES PAGES INITIATIVES : VILLE VERTE, VILLE INTELLIGENTE ET DURABLE :Charmes et feeling de la Smart
Dessiner une ville créative structurée autour de bâtiments verts et durables, d’un réseau urbain de transports où circulent en parfaite harmonie, le tramway solaire et le bus électrique. L’exercice paraît difficile, mais, il est loin d’être impossible aujourd’hui grâce à toutes les dernières découvertes technologiques consolidées par un accès plus facile aux sources d’énergies nouvelles et renouvelables. Dans
un Dakar complètement envahi par les travers issus de l’encombrement humain et urbain, le pari peut être complètement fou parce que dépourvu de sens pour le profane, mais c’est bien le nouveau jeu auquel architectes, urbanistes, ingénieurs et concepteurs de logiciels en tout genre devraient dorénavant s’atteler pour le futur. Charmes et feeling de la ville de demain. Les bases sont là, pour la Smart city, posées autour de mots-clés qui sont la connexion, l’innovation et la durabilité.

PREMIERES TENDANCES DES RESULTATS DU BAC : Hécatombe générale
Les premières tendances des résultats du Baccalauréat 2015, session juillet, ont été jugés catastrophiques. En tout cas, c’est l’hécatombe générale dans les circonscriptions de Ziguinchor, Sedhiou et Kaolack et dans la banlieue dakaroise, notamment à Guediawaye. Dans certains jurys, aucun candidat n’a été déclaré admis au premier tour.

LIGUE 1- 26 E JOURNEE : L’As Douanes, championne sur le fil
L’As Douanes a revêtu hier, dimanche, les habits de champion de la ligue 1 à l’issue de la 26e et dernière journée. La victoire acquise au stade Amadou Barry, aux dépens de la Linguère (2-1) était suffisante au bonheur des Gabelous. Puisqu’elle les a permis de se hisser au niveau du leader Niary Tally (43points), mais surtout de le décrocher au niveau du goal-différence particulier au niveau des confrontation direct lors des phases aller et retour en championnat. Un scénario cauchemardesque pour l’équipe de Lamine Dieng et le public de ce quartier populaire suite au match nul (0-0) que son équipe a concédé devant le Port, déjà relégué

LUTTE- VICTORIEUX SUR MODOU LO : Bombardier fait plier le «Roc» et coffre sa couronne
Le titre de Roi des arènes a encore de beaux jours chez son actuel détenteur, Serigne Dia «Bombardier». Le B52 de Mbour a réussi à sauvegarder sa couronne en terrassant samedi au stade Demba Diop, Modou Lô de l’écurie Rock énergie des Parcelles assainies. En plus de ses arguments athlétiques, le Géant de la Petite Côte a mis avant une stratégie bien maitrisée pour exercer au bout de 10 minutes d’une confrontation intense, sa domination sur le «Roc» des Parcelles assainies.

LES TITRES DU SOLEIL SUR SENEPLUS.COM

EXPOSITION UNIVERSELLE DE MILAN : Le Sénégal à l’honneur
A l’issue de sa visite à l’exposition universelle Milano 2015, le président Macky Sall s’est dit satisfait de voir le Sénégal participer à cet événement mondial. Le pavillon Sénégal a organisé des présentations sur la thématique « Agriculture et alimentation en zones arides : les défis de la rareté de l’eau et du changement climatique ».

LIGUE 1 DE FOOTBALL : L’Asc Douane championne du Sénégal
La course a été menée jusqu’à l’ultime journée du championnat avec son lot d’incertitudes pour les trois équipes les mieux placées au titre de champion. Et hier, c’est du stade Amadou Barry qu’est venue la bonne nouvelle. C’est la Douane qui est championne du Sénégal à l’issue de cette 26e et dernière journée. Ses deux autres adversaires n’ayant pu faire que match nul. Niary Tally, qui était le mieux placé, a été tenu en échec par le Port. Diambars, quant à lui, a été battu par Pikine qui descend, avec cette victoire, en Ligue 2. Les Douaniers ont décroché ce titre grâce à un goaldifférence particulier qui leur est favorable sur Niary Tally.

LIBERATION DE 70 SENEGALAIS SANS PAPIERS AU GABON : Les militants Apr magnifient l’implication du chef de l’Etat
Les militants de l’Alliance pour la République, au Gabon, se félicitent de l’implication du chef de l’Etat quia permis la libération de 70 Sénégalais sans papiers. « Grâce à cette intervention, lit-on dans un communiqué, une heureuse issue a pu être trouvée et chacun a pu s’assurer que la dignité de nos compatriotes a été préservée et qu’ils n’ont subi aucun mauvais traitement ».

PR SOULEYMANE BACHIR DIAGNE, PHILOSOPHE : « Il y a un mariage entre le fanatisme et l’ignorance pour instrumentaliser l’Islam »
Propagation du djihadisme au Proche-Orient et au Sahel, conflit sanglant entre chiites et sunnites notamment au Yémen… Partout, près ou loin, le monde musulman n’a pas paru depuis longtemps aussi mouvant et incertain. Des frontières s’effacent, des Etats s’effondrent, des unions vacillent, des sociétés se fragmentent, des camps idéologiques se recomposent. Dans ce chaos qui semble parfois indéchiffrables, les conflits sans issue, tandis que les opinions s’entrechoquent avec une virulence décuplée, certains esprits, lucides, essaient de faire entendre la voix de la raison et de faire la part des choses. Dans cet entretien, le philosophe sénégalais Souleymane Bachir Diagne, auteur de nombreux travaux sur l’islam et enseignant à Columbia University (New York), nous aide à lire ce chaos. Il nous dit notamment que l’islam doit renouer avec son propre principe et sa propre culture du mouvement et du pluralisme pour vaincre le fanatisme et l’ignorance, sources de tous les maux. Cela grâce à l’éducation !

BFEM : 230.060 candidats composent à compter d’aujourd’hui
Les épreuves du Brevet de fin d’études moyennes (Bfem) démarrent, aujourd’hui, au Sénégal où sont enregistrés 203.060 candidats

LES OFF DU POP SUR SENEPLUS.COM

«Xaragne» Lo
A la suite de sa défaite contre Bombardier, Modou Lo aurait fait un tour, dans la nuit du samedi au dimanche, à l’hôpital Général de Grand-Yoff, à cause d’une blessure au dos qu’il aurait contracté au cours du combat. Une information relayée par plusieurs sites en ligne. Mais après vérification, l’information n’a pas été confirmée par le staff de «Xaragne» Lo. Khadim Gadiaga que nous avons joint recadre ainsi : «J’ai été avec Modou Lo jusqu’à 3 heures du matin dans la nuit du samedi au dimanche. Nous avons dîné ensemble. Et dans la journée du dimanche, nous étions aussi ensemble dès 11 heures. Je ne suis pas au courant qu’il était l’hôpital». Il faut noter que Modou Lo et Bombardier n’ont pas subi de test sur le contrôle antidopage après leur duel.

Papa Sow
Depuis sa défaite contre Lac de Guiers 2, le 12 avril dernier, au stade Demba Diop, Papa Sow n’était plus réapparu dans l’arène. Mais samedi dernier, il est venu prêter main forte à Modou Lo pour démontrer l’unité des lutteurs issus des Parcelles assainies. Il a fait un «tuuss» avant d’être rejoint par «Xaragne», à la grande joie des supporters.

Disparition
La recrudescence des disparitions d’enfants dans le département de Rufisque hante le sommeil des populations. Un mois après l’enlèvement de la petite Fatou Binetou Ndiaye (4 ans), au seuil de son établissement scolaire, et celui avorté de S. N. Ba (6 ans), envoyée pour acheter du sel à la boutique, un nouveau cas de disparition inquiétant vient d’être noté depuis avant-hier, à Arafat 2, un quartier de la commune de Rufisque Est. En effet, il s’agit de Birame Niang, un sourd muet de 8 ans. D’après les informations fournies par son père, le jour de sa disparition, le garçon portait un polo et il est toujours introuvable.

7 000 containeurs…
Saisissant la balle au rebond, l’ancien ministre de l’Environnement et du Développement durable a demandé à tous les forestiers du Sunugaal de soutenir SMS qui a pris, vendredi dernier, la décision de mettre fin à la coupe abusive du bois. L’éternel défenseur de l’environnement qui accuse les Chinois d’être derrière cette entreprise de coupe abusive du bois mise à nu, un système qui, dit-il, décime la forêt. «Ces Chinois ont commandé 7 000 conteneurs de 40 pieds de bois de venne qui est du bois noble et qui sortent de notre forêt, qui sont pillés de notre réserve forestière. C’est un trafic organisé à partir de la frontière avec la Gambie où des Chinois donnent aux trafiquants, aux jeunes malheureusement intéressés par des motos, une moto Jakarta toute neuve pour chaque tronc livré», à révélé, hier Aly Aïdar. L’ancien ministre qui s’exprimait sur la Rfm a invité tous les écologistes à accompagner le chef de l’Etat dans ce combat contre la coupe du bois qui accélère le processus de dégradation de l’environnement. «On l’a dit, on l’a dénoncé, on est prêt à aller au front», a déclaré l’écologiste qui tient un point de pesse aujourd’hui.

Aïda Mbodj…
La présidente du mouvement Alliance pour l’alternance démocratique étend ses tentacules dans la région de Diourbel. Venue installer une section départementale à Mbacké, Aïda Mbodji a descendu en flammes le locataire du Palais de l’avenue Roume. «Nous sommes tous sortis de la même école, c’est celle du président (3W). (SMS) tente de nous divertir en usant de stratégies que nous connaissons parce que nous avons eu à faire les mêmes pratiques lorsqu’on était au Pds», a-t-elle dit devant une foule en extase. L’ex-mairesse de Bambey de poursuivre en wolof : «(SMS) yabul Hollande ak Obama. Il s’est engagé devant ces deux chefs d’Etat qui sont ses patrons. Il n’a pas les coudées franches et ne dispose d’aucun moyen pour se dérober. Qu’il pleuve ou qu’il neige la Présidentielle aura lieu en février 2017».

…Mobilise à Mbacké…
Parlant du bilan de SMS, Aïda Mbodji d’ajouter : «Il a passé tout son temps à poursuivre et à mettre en prison ses opposants, il n’a encore rien fait pour ce pays. Et sachant qu’il n’a pas de bilan à présenter, il a peur d’aller aux élections, mais le vin est déjà tiré et il boira le calice jusqu'à la lie». Evoquant l’argument judiciaire, la présidente de And de renseigner : «En prenant l’engagement de réduire son mandat, s’il est élu président, cela fait foi et office de principe législatif. Donc la réduction est inéluctable parce que les populations se sont fondés sur cet engagement pour le porter à la magistrature suprême, ce qui veut dire qu’il est élu pour cinq».

…Et tire sur SMS
Aïda Mbodji pense même que SMS veut simplement divertir ses adversaires potentiels afin qu’ils se préparent pour 2019, mais clame-t-elle : «je vous assure que les élections se tiendront en 2017 et nous qui connaissons bien sa stratégie, nous nous préparons en conséquence pour le battre dès le premier tour. La mobilisation de cet après-midi avec Diodio Niane qui est une femme actrice de développement en est une parfaite illustration». En fin de meeting Aïda Mbodji a remis une enveloppe d’un million de F Cfa à sa nouvelle recrue pour une caution de financement aux femmes de Touba membres de And. Chèque à la main, elle s’est même permise d’ironiser : «Je dirai à la Crei là ou j’ai pris cet argent, si elle m’interpelle».

Rewmi
Restons dans le département de Mbacké, précisément à Touba pour parler de Rewmi qui continue sa massification dans la ville sainte et ses environs. Ce week-end, quarante commerçants et industriels ont mis sur pied un collectif pour porter Ngorsi Seck à la magistrature suprême en 2017. En Ag au quartier Touba Nguiranene, Modou Seck leur président pense que la situation économique du pays est telle qu’ils n’ont plus le droit de se taire et rester les bras ballants. «Nous avons porté notre choix sur (Ngorsi Seck) de par son parcours, son sérieux et sa posture d’homme d’Etat pour le soutenir en 2017. D’ailleurs pour lui prouver notre bonne volonté, nous allons financer sur fonds propres sa campagne dans le département de Mbacké et nous démarrons dès maintenant notre précampagne pour lui faire gagner le département de Mbacké haut la main en 2017 avec notre responsable Moustapha Cissé Yataal Pds qui nous a convaincu de le rejoindre en compagnie des militants et responsables de Rewmi dans le département pour la victoire finale».

Circoncision…
La commune d’arrondissement de Dieuppeul-Derklé a procédé, hier, à la 1er édition de son opération de circoncision collective ou «lël». A cette occasion, 120 enfants ont été circoncis et pris entièrement en charge par le maire de la commune, Cheikh Gueye. «Nous avons organisé cet évènement en vue de permettre aux parents d’inscrire leurs enfants pour qu’ils soient circoncis. Au moment où nous vous parlons, il y a 120 enfants circoncis. Et il y a une longue liste d’attente», a renseigné M. Gueye. Et de poursuivre : «C’est une opération très importante, parce qu’au-delà même de la santé, elle va permettre aux enfants de la commune de partager des espaces de communion, d’entente et de solidarité».

…Collective
«Nous avons prévu des visites aux personnalités de la commune, telles que les délégués de quartier, les imams et les pasteurs. Nous irons avec les circoncis pour les saluer», selon le maire qui a indiqué, par ailleurs, que la commune envisage aussi de les organiser. Celà, pour aller «visiter certains sites de la commune de la ville de Dieuppeul afin de permettre aux enfants de découvrir et d’apprendre son histoire. Mais également de faire des «kasak» (moment de communion et d’activité culturelle pour les circoncis). Cela va permettre aux enfants de se ressourcer, de se formater et d’avoir les atouts nécessaires pour que, demain, ils puissent prendre la relève».

Plan d’actions
Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr)affine son plan d’action. Hier, il a tenu un séminaire pour «examiner les conditions nécessaires à la mise en œuvre de son plan d’actions destiné à faire face aux agression du régime contre les populations et contre les forces démocratiques». Les travaux, renseigne la Commission communication ont été organisés sous forme d’ateliers et ont permis d’approfondir les différents sujets abordés notamment les questions d’organisation interne et celles liées à la stratégie et au package d’actions à entreprendre. Les conclusions de ce séminaire sont soumises aujourd’hui même, pour validation, à la Conférence des leaders convoquée dans l’après midi. Après adoption, le Front va faire face à la presse pour décliner le plan d’actions retenu.

Unapees
L’Union nationale des parents d'élèves et d'étudiants du Sunugaal (Unapees) a lancé hier un appel aux différents acteurs de la communauté éducative. Aux syndicats d’’enseignants, le Président Abdoulaye Fane dit : «les (Sunugaaliens) vous regardent et vous demandent de reconsidérer votre décision de cesser toute activité qui, quoique légale, risque d'avoir des conséquences désastreuses pour le pays. Nous croyons à votre fibre patriotique qui vous a valu des sacrifices». L’Unapees a aussi souhaité «du courage, de la persévérance» aux candidats du Bac et du Bfem soulignant que «la réussite est au bout de l'effort». Aux parents d’élèves et d’étudiants, Fane & Cie disent : «unissons nous pour la défense et la sauvegarde des intérêts de l'école et de l'université». Enfin, ils demandent au gouvernement de réserver une attention plus accrue aux points soulevés par les syndicats et la tenue régulière des tables de concertation de l'échelon local, mais aussi à l'échelon national même pendant les périodes d'accalmie.

Dénonciation
Restons à la conférence initiée par la Plateforme africaine pour le développement et les droits humains (Pladh), pour dire que le président de ladite structure, Sambou Biagui, a fait dans la dénonciation. Il a réclamé la dissolution des Chambres africaines extraordinaires (Cae) qui, selon lui, sont illégitimes. A l’en croire, les Cae doivent être remplacées par un Tribunal pénal africain qui doit juger les faits commis au Tchad, de 1960 à 2015. Consi-dérant que «le procès n’est pas équitable», Sambou Biagui & Cie ont réclamé «la relaxe du Président Hissein Habré». Ils comptent organiser une marche nationale pour remettre un mémorandum au président de l’Assemblée nationale. La Pladh envisage aussi, dans sa campagne de dénonciation, de mettre en place une Internationale pour défendre les intérêts du continent africain.

Sonatel
Hier, les clients de Sonatel ont eu la désagréable surprise de ne pouvoir passer de communication dans une certaine période de l’après-midi. Ce qui a fait monter au créneau l’opérateur qui reconnait «la survenue d’un incident indépendant de sa volonté sur l’un de ses équipements de la téléphonie mobile et du fixe prépayés». Cela a entrainé, dit la Sonatel, «une perturbation des communications pour certains clients, entre 16 heures 20 et 18 heures 50 minutes, ce dimanche 26 juillet 2015». L’opérateur qui présente ses excuses à ses clients, indique que «la mobilisation immédiate des équipes techniques a permis un rapide rétablissement de tous les services concernés par cet incident».

Me Francois Serres
Membre du Collectif des avocats de l’ex-Président tchadien, Hissein Habré, Me François Serres n’a pas été tendre, hier, avec le Garde des Sceaux. L’avocat qui s’exprimait lors de la conférence organisée par la Plateforme africaine pour le développement et les droits humains (Pladh) sur l’affaire Habré, a martelé : «Sidiki Kaba, comme Reed Brody, est un truqueur et un manipulateur. Encore une fois, Sidiki Kaba se couche au nom de l’Etat (sunugaalien). Pour considérer que Deby doit être jugé devant les juridictions tchadiennes, Sidiki Kaba viole l’accord des Chambres africaines qui dit très clairement que les Chambres africaines ont la responsabilité exclusive, à l’exclusion de toutes autres juridictions nationales, pour juger le ou les principaux responsables». Sur la commission d’office d’avocats pour défendre leur client, Me Serres qui avait à ses côtés son collègue Me Ibrahima Diawara a asséné que «le barreau de (Ndakaaru) a engagé l’honneur de la profession dans une démarche périlleuse».

Perturbations sur les appels : la Sonatel s'explique

Sonatel informe ses clients de la survenue d’un incident indépendant de sa volonté sur l’un de ses équipements de la téléphonie mobile et du fixe prépayés.

Cela a entrainé une perturbation des communications pour certains clients, entre 16 heures 20 et 18 heures 50 minutes, ce dimanche 26 juillet 2015.

La mobilisation immédiate des équipes techniques a permis un rapide rétablissement de tous les services concernés par cet incident.

Sonatel présente ses excuses à ses clients pour les désagréments subis à cet effet.Dakar, dimanche 26 juillet 2015

Sport et politique à la Une des quotidiens du lundi

Xibaaru Des sujets relatifs au sport avec la victoire samedi dernier de Bombardier sur Modou Lô en lutte traditionnelle avec frappe, et celle d’hier de L’As Douanes sur Niary Tally (2-1) en finale du championnat de la Ligue sénégalaise de football professionnel (Lsfp), ainsi que la politique, sont mis en exergue par les quotidiens du lundi.

Informant que Modou Lô a été battu après 7 minutes de combat, Le Témoin présente «Bombardier (comme un) fin stratège».

«Victorieux de Modou Lô : B52 pulvérise le Roc», titre EnQuête, rappelant que «Bombardier conserve sa couronne de Roi des arènes devant un adversaire teigneux et se dit prêt à affronter de nouveau Yékini».

«Bombardier largue ders missiles», écrit L’As. Dans ce journal, le lutteur soutient : «Modou Lô n’était pas mon seul adversaire. Je luttais contre d’autres gens tapis dans l’ombre. Je veux rivaliser avec les jeunes pour ce qui reste de ma carrière».

Pour Le Populaire, «le B52 bombarde Modou Lô». «Bombardier fait plier le roc et coffre sa couronne», note Sud Quotidien.

En football, ce journal informe que «L’As Douanes a été sacrée hier championne du Sénégal sur le fil».

Le Populaire revient sur ce qu’il qualifie d’épilogue de la Ligue 1 de football et souligne que «L’As Douanes est championne du Sénégal».

«Ligue 1 de foot : Douane coiffe au poteau Niary Tally», indique Stades.

Ce journal donne aussi la parole à Lamine Diack, président de l’IAAF qui soutient : « Aider Aliou Cissé, mais ne pas l’encombrer. Au Sénégal, tout le monde pense connaître le football. Le rapport avec les joueurs ne doit pas se bâtir sur des primes».

Commentant la «mort suspecte» du mannequin Maty Mbodj, EnQuête informe qu’ «un ballet de Vip est annoncé à la sûreté urbaine».

La Tribune livre le film de la levée du corps de Maty Mbodj et renseigne que «les mannequins (étaient) inconsolables et que l’enquête se poursuit».

Le Quotidien traite de la mort vendredi du jeune Ndiaga Ndiaye, tué par la police qui poursuivait des trafiquants de drogue présumés, et fait état de multiplication des bavures policières.

«Police d’impunité», écrit le journal à sa Une, informant que le policier «tueur», Cheikh Diop est arrêté et le Commissaire de Dieuppeul affecté à Bambey.

A la une de La Tribune, le professeur Ismaïla Madior Fall, ministre-conseiller de Macky Sall répond à ses détracteurs. «Je ne suis pas à la solde du pouvoir», dit-il.

Sud Quotidien s’intéresse à l’organisation de la présidentielle de 2017 et note que «l’arbitre divise la c lasse politique».
Sur la symphonie du désordre dans sa communication, Direct-Info écrit que «le PS (Parti socialiste, mouvance présidentielle) siffle la fin du bal». «Communication politique : Le Ps veut mettre fin au désordre», dit La Tribune.

Louga – Résultats Bac 2015 Centre Al Hanafia – 607 candidats, 34 admis et 7 exclus pour fraude

iGFM – (Dakar) Le centre de l’institut supérieur islamique Al Hanafia s’est d’abord distingué lors de cette présente session du baccalauréat 2015 par des cas de fraude.

Le malheur ne venant jamais seul, le centre est en voie d’enregistrer les plus mauvais résultats du Bac 2015 dans la région de Louga. Sur les 607 candidats de la série L1 répartis entre les jurys 855 et 856, seul 34 sont passés au premier tour, 145 repasseront pour le second tour.

Au jury 855, sur les 306 candidats dont 150 filles, 11 sont admis d’office, 74 pour le second tour. Ce jury a enregistré 6 absences. Au jury 856, 23 candidats sont admis d’office, 71 pour le second tour. Ce jury a enregistré 11 absences.

Les sept candidats exclus pour le délit de fraude ont bénéficié d’une liberté provisoire après leur passage devant le maitre des poursuites. C’est l’office du Bac qui a porté plainte contre eux. Ils seront jugés ce Mardi.KHALIL I SENE

Ça c’est grave : 166 cas de viol recensés en an dans la région de Dakar

http://www.leral.net C’est un constat alarmant que l’Association des juristes du Sénégal a fait. Entre 2013 et 2014 plus de 166 filles ont été violées dans la région de Dakar. Au cours d’un atelier de formation des journalistes sur le traitement médiatique des violences faute aux enfants
"Durant la période 2013-2014, nous avons enregistré 193 cas de violences faites aux enfants. Et dans les 193 cas, nous avons 166 cas de viols. C’est inquiétante. Ce qu’il faut pour les viols, c’est évité que les auteurs ne soient pas puni, d’énoncer les cas de viols, pousser les victimes et leurs parents à porter plainte…", fait savoir l’Association des juristes du Sénégal dans les ondes de la Rfm.

Tamsir Faye a-t-il dit vrai sur la Police française ? L’ONU vient de condamner les violences policières en France

Xibaaru S’il y a quelqu’un qui doit se réjouir, c’est bien Tamsir Faye…Au même moment où avait lieu l’incident de Marseille l’impliquant, la France, ce grand pays qui se vante d’être le berceau des droits de l’Homme, était condamnée par le comité des droits de l’homme de l’ONU qui lui reprochait ses violences policières.

Le 23 juillet 2015 dans l’après-midi soit deux jours après l’interpellation de Tamsir Faye (arrêté le 21 juillet), le Comité des droits de l’homme de l’ONU a rendu ses recommandations concernant la France, faisant suite à l’examen périodique qui s’est déroulé au début du mois de juillet à Genève.
Le comité des droits de l’homme rend son verdict : La France n’est pas le pays des droits l’homme
Lois antiterroristes, surveillance, respect des minorités, milieux carcéral et violences policières, droit d’asile et le sort des migrants, des Roms, Outre-Mer : la France est loin d’être le pays des droits de l’homme.
VIOLENCES POLICIERES ET SURPOPULATION CARCERALE
Le comité des droits de l’homme de l’ONU a notamment estimé qu’il n’y a actuellement en France pas assez de contrôle sur la manière dont les forces de l’ordre font usage de la force, ce qui accroit les risques de violences policières et alimente un climat d’impunité. La dignité des personnes détenues, qu’il s’agisse de nationaux ou de migrants, en métropole et plus gravement encore en Outre-Mer, fait l’objet d’une vigilance particulière du Comité.
Et sur ce point, le cas Tamsir Faye n’est-il pas un cas parmi tant d’autres impunités dont jouit la Police Française ?
Comme l’a dit Souleymane Jules Diop, seule la version de la presse française citant une vieille dame non identifiée a fait foi et le procès-verbal de la Police a fait loi…Quid de la version de Tamsir Faye ? Certes il n’avait pas le droit de critiquer son pays d’hôte en tant que Diplomate…Mais Tamsir Faye n’est pas le seul à mettre en cause l’usage excessive des forces de police française…
Car les questions de violences policières en France ont été portées devant les plus hautes autorités par des droits de l’Hommistes.
« La quasi-totalité des violations des droits de l’homme dénoncées par L’ONG ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture) a fait l’objet de recommandations du comité au gouvernement français, sur les questions de rétention de sureté, sur les violences policières, de surpopulation carcérale, sur les procédures prioritaires et l’absence de recours effectif et égal pour tous les demandeurs d’asile, et sur le sort des migrants, notamment en outre-mer » commente Eve Shahshahani, responsable asile à l’ACAT.
« Le gouvernement, dont on attend des mesures concrètes pour obéir aux recommandations des experts de l’ONU, semble bien peu disposé aux compromis. La France a au contraire passé en force de nombreuses réformes contraires à l’esprit des recommandations du Comité, notamment en ce qui concerne l’asile et l’immigration, et persiste dans sa surdité, sans dialogue, comme le démontre l’actualité récente sur le Flashball » déclare Salomé Linglet responsable prisons, police et justice à l’ACAT.Par El hadji Diagola, envoyé spécial à Paris Affaire Tamsir Faye : Le Vice-Consul du Sénégal à Lyon bombarde la presse, et défie ses supérieurs

http://www.dakaractu.com Le Vice-Consul du Sénégal à Lyon, Ibrahima M'bodj, travers une tribune parue sur diaspora.fr s’insurge contre le limogeage de Tamsir Faye désormais ex Consul du Sénégal à Marseille. Le vice consul du Sénégal à Lyon et par ailleurs ex membre de l’UJTL (PDS) défie son ministère de tutelle dirigée par Mankeur N'diaye et la décision de Macky Sall.
Voilà intégralement le message lancé sur ce site. « Face à un problème deux choses s’imposent, le comprendre d’abord et ensuite tenter de le résoudre, si notre compréhension est juste la résolution va de soi. Mais si on rate la première étape la seconde sera aporétique.
Qui peut savoir où mettre le curseur de la vérité sur les événements de Marseille ? Personne.
L’affaire Tamsir FAYE si on peut l’appeler ainsi, interpelle à plus d’un titre.
Cette affaire est révélatrice de la méchanceté extrême basée sur des ouï-dire d’une certaine presse de l’hexagone : [ la Provence]
Le paroxysme de la méchanceté des Sénégalais qui se réclament patriotes sans savoir la quintessence de ce qu’est ( être patriote).
Une presse à la dérive, sans déontologie ni éthique dans le traitement des informations.
En ce qui nous concerne nous croyons fondamentalement que cette affaire dépasse le cadre factuel des événements relatés dans la presse ces derniers jours ouvrant la voie à tous les caciques adversaires du président de déverser leurs biles comme cela n’est pas permis pour une nation digne de ce nom.
Il s’agit d’une vie, l’itinéraire d’un jeune digne et engagé pour son pays qui est étalé sur la place publique. Serigne Mor MBAYE l’éminent psychanalyste a diagnostiqué ce mal sénégalais qui nécessite un exorcisme grandeur nature ( Ndeup collectif) pour une société qui a perdu ses repères. Tamsir est un patriote résolu, le vouer aux gémonies est injuste.
Comprenez que le consul général du Sénégal à Marseille n’est pas n’importe qui.
Il fait partie de cette génération engagée pour leur Pays et qui a cru très tôt à la trajectoire d’un homme et de son destin de devenir le 4ème président de la république du Sénégal.
Oui Tamsir y a cru quand personne n’y croyait.
Depuis la loi Sada Ndiaye, il a été le déclencheur de la dénonciation de cette loi scélérate qui a fait l’objet d’une révision le 30 juin dernier par l’Assemblée nationale.
Ta nomination est plus que méritée, notre frère et camarade de parti, ton bilan à la tête du consulat de Marseille est le meilleur depuis sa création. Tu as révolutionné cette institution dans son fonctionnement avec des innovations majeures qui ont eu un impact avéré sur la population, telles sont les informations qui nous sont parvenues de tes administrés : courtois, disponible et à l’écoute de tes compatriotes. La preuve nous a été administrée à tous le 4 juillet lors de la visite de son excellence le Président Macky Sall à l’occasion des journées économiques d’Aix en Provence avec cette mobilisation exceptionnelle acquise à la cause du Président, par ton action et celle de l’équipe que tu diriges.
Le piège prémédité que nos ennemis t’ont tendu ne fait qu’augmenter notre hargne à soutenir notre président. Nous sommes des Tamsir aujourd’hui.
A ceux qui te reprochent de ne pas appartenir au corps diplomatique et par-delà ta personne toutes celles qui occupent des postes dans la diplomatie nous leurs disons : Stop.
Au XXIème siècle la pluridisciplinarité est de rigueur, le corporatisme archaïque ne peut prospérer dans ce monde qui évolue et répond à des exigences multiples qui nécessitent un vrai leadership pour atteindre les objectifs fixés. La diplomatie même explore les autres domaines telle que l’économie.
Tu es un de ces leaders pour notre génération et ceux qui te combattent sont nos adversaires. La vérité dans cette histoire est que nous sommes nos propres ennemis
Comment une presse nationale peut lyncher à outrance un compatriote, qu’avons-nous fait des valeurs constitutives de notre nation. Pourquoi les policiers sont-ils plus crédibles que notre frère ? Pourquoi TAMSIR aurait tort ? Laissons les réponses aux enquêteurs.
Notre frère a mal, nous avons mal mais tu ne seras pas seul dans cette épreuve car nous te soutenons avec la dernière énergie et de manière péremptoire nous triompherons de nos adversaires ».

L’APR France apporte son soutien à Tamsir Faye

A la suite de l’incident survenu le mardi dernier opposant M. Tamsir FAYE à une patrouille de la police marseillaise, La DSE – APR de France apporte son soutien total et inconditionnel au Consul Général du Sénégal à Marseille.
Elle condamne, avec justesse et vigueur, les accusations fallacieuses, et à charge rapportées par le site internet « laprovence » dont l’intention de ternir l’image de notre cher pays tout en protégeant la police marseillaise n’ont d’égal que son mépris royal des règles élémentaires qui régissent la noble profession de journaliste.

Comment comprendre, que malgré le tollé suscité par cet article au regard de la gravité des faits rapportés de manière unilatérale, aucun journaliste de ce site marseillais ne s’est rapproché de M. FAYE pour recueillir au moins sa version des faits ?

Comment toute une Rédaction peut-elle subitement ignorer délibérément le traitement contradictoire et équitable qui sied à ce genre d’affaire ?

Comment peut-on se baser uniquement sur le seul témoignage d’une personne physique pour jeter en pâture un honnête citoyen, de rang diplomatique de surcroît, sans aucune preuve scientifique irréfutable que la science et la technologie offrent à la police ?

Comment des policiers aussi professionnels et redoutés de la Brigade-anti-Criminelle de Marseille peuvent-ils intervenir sur un état « d’ivresse aussi aiguë » sans le concours d’un éthylotest (dont le port sera rendu obligatoire pour tout conducteur en France le 01-09-2015) pour déterminer le taux d’alcool dans le sang de M. FAYE et ainsi mieux le confondre?

Que dire d’une séance d’exhibitionnisme en plein jour dans une rue passante et truffée de caméras comme la Rue Paradis et devant cet immeuble ultra sécurisé car habité par d’autres hauts diplomates de grands pays sans recourir aux images de caméras de surveillance pour confirmer ou infirmer les dires de la bonne Dame?

Comment peut-on arrêter, menotter et embarquer manu-militari une personne à qui des faits aussi graves sont reprochés sans l’auditionner une fois au commissariat de police avec un procès-verbal dûment signé ?
Les faits sont troublants et l’attitude de la police marseillaise inquiétante !!!

Au regard tout ce qui précède, la DSE-APR de France s’étonne de la précipitation dont le Ministère sénégalais des affaires étrangères a voulu gérer cette affaire plus qu’embarrassante pour la France des Droits de l’homme et du citoyen.

Elle préconise l’ouverture, sans délai, d’une enquête impartiale avec la participation d’experts sénégalais pour faire toute la lumière dans cette nébuleuse affaire.

Toute autre réaction serait de nature à exposer vos vaillants représentants à l’étranger et serait combattue politiquement par tous les sénégalais de la Diaspora.

Hier c’était au tour d’un diplomate sénégalais en Tunisie, aujourd’hui, celui d’un diplomate en France, et demain à qui le Tour?

Pour l’honneur…, à nous l’action !!!Pour la DSELe Secrétariat chargé de la communication de la veille et riposte

Nominations partisanes de proches de Macky Sall à des postes de responsabilités : Rewmi France condamne

http://www.dakaractu.com Après la mise en place de leur section de « Mantes la Jolie », les militants de Rewmi France ont débattu sur les questions d’actualité. Ils ont déploré dans une note qui nous a été transmise, « l’incompétence du président de la République qui n’est pas capable et n’a pas le courage de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, comme le réclame l’ensemble de nos compatriotes ». Le Président ajoutent-ils, « sur la base du népotisme et des considérations politiciennes voire ethniques, nomme à des postes stratégiques des personnalités aux compétences douteuses et dont les valeurs morales sont réprimandées par l’ensemble des sénégalais ».
Cet état de fait, selon les membres de Rewmi France, constaté par tous, met à mal la réputation de notre pays au niveau international. « Toujours à cause des nominations irresponsables de Macky Sall, l’Etat actuel du Sénégal personnifie l’incompétence aux yeux des citoyens, alors que nos pères fondateurs ont toujours prôné l’excellence au sommet de l’Etat ».
Rewmi France demande ainsi aux sénégalais de se lever contre ce danger qui n’est pas prêt de s’arrêter « car à chaque conseil des ministres, le président de l’APR procède à des nominations visant à acquérir de nouveaux clients politiques et à encourager la transhumance au détriment des vrais talents de la nation ».
Il rappelle à Macky Sall, que, sans cette qualité du leadership, rien de grand ne sera accompli durant son mandat. « Les Sénégalais vont certainement récupérer le pouvoir qu’ils lui ont confié, car il fait preuve d’une incompétence notoire, lui et son camp, depuis qu’ils sont à la tête de notre cher Sénégal ».
Cette rencontre fut l’occasion pour Rewmi d’installer de la plus belle des manières ses bases à Mantes-La-Jolie qui est loin d’être la chasse gardée de l’APR réfute t-il. « Avec le soutien sans faille en particulier de la communauté Manjaques, des Hal pulaar, des associations sportives et de l’ensemble des sénégalais, les Mantais ont promis de montrer aux responsables locaux de l’APR que ce n’est pas avec l’arrogance qu’ils vont marchander des postes de responsabilité sur le dos des honnêtes sénégalais de Mantes-La-Jolie » concluent les membres de Rewmi.

L’Affaire Tamsir Faye divise les Affaires étrangères : Les diplomates APR défient les vrais diplomates

Xibaaru C’est du jamais vu ! Pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, un parti politique au pouvoir infiltre la diplomatie sénégalaise et menace les vrais diplomates.
Tout est partie de l’Affaire Tamsir Faye. Ce scandale qui a vu le rappel à Dakar du Consul général du Sénégal à Marseille suite à une grave affaire de mœurs.
Dès le début de ce scandale, les réactions ont été très timides dans le camp de l’APR. Les responsables politiques évitaient de se jeter dans la gueule du loup. Jusqu’à ce que Mankeur Ndiaye, le ministre des Affaires Etrangères rappelle à Dakar le consul mis en cause dans cette affaire et à sa suite, la sortie tant controversée du secrétaire d’Etat chargé des Sénégalais de l’Extérieur, Souleymane Jules Diop qui s’insurge contre la mesure de son ministre de tutelle.
Cette sortie qui a eu un effet d’adrénaline chez les militants de l’APR a ouvert les vannes à toutes les récriminations. Et sans mettre de gants, les militants APR qui font partie de la diplomatie sénégalaise, embauché par le ministère des affaires étrangères ont commencé eux aussi à critiquer la décision de leur ministre de tutelle et dénoncer le corporatisme sauvage des vrais diplomates. Et c’est du côté de la France que fusent les réactions de ceux qu’on peut nommer « diplomates apéristes ». Et ils sont nombreux.
Dans une contribution parue chez nos confrères de Diaspora.fr, un diplomate, le vice consul du Sénégal à Lyon, Ibrahima Mbodj, s’est ouvertement attaqué aux diplomates.
Sa contribution titré : « Affaire Tamsir Faye: l’impartialité à rude épreuve » et signé Ibrahima Mbodj APR, le Diplomate APR parle d’ennemis, de corporatisme archaïque…Suivez cet extrait de sa contribution :
« Le piège prémédité que nos ennemis t’ont tendu ne fait qu’augmenter notre hargne à soutenir notre président…Nous sommes des Tamsir aujourd’hui.
A ceux qui te reprochent de ne pas appartenir au corps diplomatique et par-delà ta personne toutes celles qui occupent des postes dans la diplomatie nous leurs disons : Stop.
Au XXIème siècle la pluridisciplinarité est de rigueur, le corporatisme archaïque ne peut prospérer dans ce monde qui évolue et répond à des exigences multiples qui nécessitent un vrai leadership pour atteindre les objectifs fixés. La diplomatie même explore les autres domaines tels que l’économie. » Fin de citation… (Lien en fin d’article)
Quel défi ?
Aujourd’hui et pour la première fois dans l’histoire du Sénégal, des politiciens diplomates protestent voire accusent leur hiérarchie et le personnel diplomatique qualifié…
Penda Sow pour xibaaru.com
Xibaaru vous donne le lien de la contribution intégrale du diplomate APR sur diaspora.fr…

http://www.diasporas.fr/affaire-tamsir-faye-limpartialite-a-rude-epreuve-par-ibrahima-mbodj/

Organisation de la présidentielle de 2017: Monsieur élections divise la classe politique !

http://dakarmatin.com Monsieur élections divise la classe politique Peut-on organiser au Sénégal des élections régulières et transparentes avec un ministre de l’Intérieur appartenant au pouvoir en place ? Apparemment, la question ne semble pas se poser pour une bonne partie de l’opposition politique qui réclame vaille que vaille la nomination d’une personnalité neutre pour organiser les élections à venir, notamment la présidentielle de 2017. Peut-on d’ailleurs lui en tenir rigueur quand on sait qu’au Sénégal, les deux seules alternances politiques à la tête de l’Etat (2000 et 2012) ont été pilotées par deux «Monsieur Elections» indépendants. En l’occurrence, le Général Lamine Cissé et l’Inspecteur d’Etat Cheikh Guèye ? En tout cas, à moins d’une année de la prochaine présidentielle, cette question d’une personnalité neutre pour organiser le processus électoral divise de plus en plus la classe politique comme les analystes du sérail. Quand bien même la nécessité du consensus, pour booster le jeu démocratique, s’impose de plus en plus à tous

Opposition : Le FPDR annonce une série de manifestations

http://www.dakaractu.com Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) affine son plan d’action. Hier, il a tenu un séminaire pour «examiner les conditions nécessaires à la mise en œuvre de son plan d’actions destiné à faire face aux agressions du régime contre les populations et contre les forces démocratiques».
Les travaux, renseigne la Commission communication, ont été organisés sous forme d’ateliers et ont permis d’approfondir les différents sujets abordés notamment les questions d’organisation interne et celles liées à la stratégie et au package d’actions à entreprendre. Les conclusions de ce séminaire sont soumises aujourd’hui même, pour validation, à la Conférence des leaders convoquée dans l’après-midi. Après adoption, le Front va faire face à la presse pour décliner le plan d’actions retenu.
Mais d’ores et déjà une série de manifestations publiques pour exiger du Gouvernement une meilleure prise en charge des besoins des populations est annoncée...

Fatou Sow Sarr : «Macky Sall est en train de faire une ruse politique à travers ses tournées économiques! »

http://www.dakaractu.com Si des ouailles de Macky Sall optent pour le septennat, d’autres par contre souhaitent le respect de son engagement portant sur le quinquennat. Parmi ceux-ci, Fatou Sow Sarr de la Plateforme Avenir Sénégal "Biñu Beug" qui est d’avis que le successeur de Me Wade a intérêt à ce que la prochaine élection présidentielle se tienne en 2017.
Car, pour la Directrice du Laboratoire Genre et recherche de l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan), «nous sommes dans une société où l’engagement et la parole donnée comptent beaucoup». Mieux, poursuit la Sociologue, «en organisant la présidentielle en 2017, Macky gagnerait plus en électorat que s’il attend 2019 car, à cette date, il risquerait d’être sanctionné pour non respect de sa parole».
Invitée de l’émission ‘’Objection’’, Fatou Sow Sarr est également revenue sur le réel contenu des tournées économiques, rejoignant au passage les positions affirmées par certains membres de l’opposition. «Macky Sall est en train de faire une ruse politique à travers ses tournées économiques. C’est une façon de préparer sa campagne pour 2017».
Tirant la sonnette d’alarme, elle signale, qu’au niveau des populations sénégalaises qui élisent un Président de la République, «la question de la considération est plus importante que les moulins qu’il distribue». Elevant le ton, elle martèle : «Macky Sall devrait retourner dans les chaumières qu’il avait fréquentées avant son élection à la présidentielle de 2012».

Fatou Sarr Sow-Abdou Diouf : «C’est quand même curieux qu’un ancien Président.. »

http://www.pressafrik.com Fatou Sarr Sow s’interroge sur les rumeurs selon lesquelles, l’ancien président de la République Abdou Diouf travaillerait pour un rapprochement entre le Parti socialiste (Ps) et Macky Sall. Cette situation démontre d’après la sociologue, qu’il y a une «profonde crise au sein du Parti socialiste (Ps).

Fatou Sarr Sow s’est interrogée sur la situation qui prévaut au sein du Parti socialiste. Ce qui l’a fait réagir aux rumeurs qu’Abdou Diouf, l’ancien président de la République travaillerait pour un soutien du Ps à Macky Sall. «C’est quand même curieux qu’un ancien Président, qui avait dit qu’il prenait sa retraite politique, et, la retraite politique pour nous, elle est totale, revienne», déclare-t-elle. Et de s’interroger : «Mais maintenant quels sont ses intérêts à lui qui font qu’il veuille redescendre dans cet espace ?». Et de poursuivre sur les ondes de sud fm : «Quoi qu’il en soit, cela montre qu’il y a une profonde crise au sein du Parti socialiste, mais il faut faire confiance à la vitalité de ce parti, à son expérience et sa sagesse. Selon leurs dires, c’est un parti très démocrate, dans la mesure où toutes les décisions sont prises par vote et à bulletin secret. Donc ils auront le candudat que la base aura désigné».
Mais cette crise est de l’avis de Fatou Sarr Sow, loin de perturber la quiétude du Parti socialiste : «Au regard de ce qu’ils sont en train de montrer, je crois qu’ils vont ménager l’intérêt de leur parti. Parce que si c’était d’autres formations plus récentes que nous avons connu, chacun serait parti de son côté. Ce sont des gens qui ont une certaine maturité et un sens de la responsabilité historique de conserver l’unité de leur parti parce que dans uns scission, ils ne gagneront pas. Il y aura certainement un gagnant parmi eux mais le parti, celui de Senghor perdra», a-t-elle affirmé.Ousmane Demba Kane

Fatou Sarr Sow:«Les hommes politiques sérieux devraient avoir un plan…»

http://www.pressafrik.com La Directrice du Laboratoire Genre est d’avis que les tournées économiques du président de la Républiques ont aussi des relents politiques parce que les élections se tiendront en 2017. Selon Fatou Sarr Sow, cela devrait pousser les hommes politiques à se préparer en conséquence au lieu de s’enfoncer dans des débats stériles.

«La date officielle des élections c’est 2019. Mais à mon avis il y aura des élections en 2017. Au regard des faits, les tournées économiques sont des tournées inscrites dans le système que nous avons». Ces propos sont de Fatou Sarr Sow, la Directrice du Laboratoire genre qui s’exprimait sur les ondes de Sud fm. Et de poursuivre : «Mais en même temps c’est une campagne qui permet au chef de l’Etat d’être à proximité des populations. Sinon pourquoi aurait-il déployé tous ces efforts si ce n’était pour un but précis ? »
Selon elle, Macky Sall a même intérêt à aller aux élections en 2017 : «Parfois ce que lui donnent le droit et ses intérêts politiques il y a une connexion. Et ce président de la République a intérêt à aller aux élections en 2017 parce qu’on est dans une société où ce n’est pas seulement les résultats qui vous donnent la confiance du peuple. Nous sommes dans une société où la notion de statut est extrêmement importante. Si le président respecte sa parole, ça lui donnera plus de voix que le reste. Il y a des gens qui sont prêts à l’accompagner s’il respecte sa parole mais qui auront la même détermination à le combattre s’il revient sur sa promesse. Donc c’est une ruse politique à laquelle il est en train de s’adonner. Arque qu’il connait sa date, et pendant que les gens tergiversent sur ça».
La sociologue s’est aussi attaquée aux hommes politiques qui se laissent emporter par la tenue ou non des élections en 2017 : «De toute façon, les hommes politiques sérieux devraient se dire que les deux possibilités existent et avoir un plan A et un plan B, et développer, par rapport à 2017. Mais aujourd’hui, les acteurs politiques sont plus dans le tiraillement entre les dates, pendant que lui est en train de dérouler tranquillement», a-t-elle conclu.Ousmane Demba Kane

Aïda M'bodj, présidente du mouvement And : «Le Président Sall n’a aucune possibilité de se soustraire de l’élection présidentielle de 2017»

http://www.dakaractu.com La présidente du mouvement, dénommé Alliance nationale pour la démocratie (And), Aïda Mbodj, a indiqué, hier, à Mbacké, lors de leur Assemblée générale, que «le Président Macky Sall n’a aucune possibilité de se soustraire de l’élection présidentielle de 2017».
Par ailleurs, le député libéral de Bambey a révélé qu’elle va mener une campagne de dénonciation des droits des détenus politiques.

Présidant, ce dimanche, une Assemblée générale organisée dans le cadre de la mobilisation du mouvement de l’Alliance nationale pour la démocratie (And) ‘’And Saxal Liguel’’, Aïda Mbodj a abordé l’épineuse équation de la réduction du mandat présidentiel de sept à cinq ans. «Le débat qui prévaut, aujourd’hui, dans le pays n’est qu’un divertissement. C’est de la diversion. Le Président Macky Sall n’a aucune possibilité de se soustraire de l’élection présidentielle de 2017», a soutenu la président de l’And par ailleurs présidente du Conseil départemental de Bambey.
Avant de revenir à la charge : «Le Président Macky Sall a pris, entre les deux tours de l’élection présidentielle, un engagement qui a une valeur juridique. Donc, en tant qu’institution, il n’a qu’à revenir à l’orthodoxie et reprendre les cinq ans d’autant plus que c’est lui-même qui avait présidé la révision de l’article 27 qui a porté le mandat à sept ans».
Sur un autre plan, revenant sur la détention de Karim Wade et d’autres prisonniers qu’elle qualifie de politiques, le député libéral dit avoir saisi le gouvernement par rapport à l’interpellation du Groupe de travail des Nations unies. Mais, poursuit-elle, la réponse qui lui a été servie n’est pas satisfaite.
Raison pour laquelle, «nous allons mener une campagne de dénonciation du non respect des droits des détenus politiques sur la base d’un mémorandum que nous allons proposer à tous les citoyens pour signature. Mais aussi, nous allons sensibiliser nos bailleurs, nos partenaires techniques et financiers et pourquoi pas les chefs d’Etats des grandes puissances», a promis l’ancienne ministre.
A noter qu’Aïda Mbodj a remis une enveloppe financière d’un million de francs Cfa aux femmes dans le cadre de leur autonomisation et du renforcement de leurs capacités.

Me Nafissatou Cissé Diop: "L'APR sera à jamais mon parti et Macky Sall restera mon leader à vie "

http://www.dakarposte.com Que ceux qui s'attendent à ce que Me Nafissatou Diop Cissé quitte un de ses quatre l'APR déchantent. La non moins responsable politique Kaolackoise a, derechef, juré, la main sur le coeur, qu'elle reste à tout jamais militante du parti de Macky Sall et ce dernier restera à jamais son mentor.

A écouter la dame expliquer les raisons qui motivent son adhésion à l'APR, on en déduit qu'elle a fait sienne cette maxime d'Ambroise de Milan. Lequel soutenait dans un de ses ouvrages que : "chacun doit défendre sa conviction".
Saisissant la 2eme édition de la conférence religieuse qu'elle a organisé ce dimanche 26 Juillet 2015 dans l'antre du théatre Sorano, qui s'est révélé exigu, Me Nafissatou Diop martèlera, à gorges déployés, son attachement aux idéaux du Président Macky Sall. "L'APR restera mon parti à jamais au même titre que le Président Macky Sall" ressassera la bonne dame, décrochant du coup un standing-ovation du nombreux mais coloré public, apparemment acquis à sa cause.
"Je le répète, je vis de mon métier, je ne me plains pas, mais je crois foncièrement, je souscris entièrement à la politique, aux idéaux de mon leader" renchérira t'elle avant de demander à l'assistance particulièrement aux différents guides religieux, qui ont rehaussé de leur présence le cérémonial de prier pour que Macky Sall rempile à la magistrature suprême.
"Je ne le souhaite pas mais si Macky va à l'opposition, je l'y rejoins et je ne le souhaite pas " lâchera t'elle avec humour, faisant tordre de rire toute la salle.
Dans la foulée, Mme la non moins Présidente du Conseil de Surveillance du Fonds Souverain (FONSIS) de préciser que son mouvement se veut apolitique.
"Quoi que je suis Apériste, nous, je veux dire nous du mouvement sommes ouverts à toutes les chapelles politico-religieuses et nous prônons le dialogue, la paix, la tolérance bref tous les vertus qui ont de tous temps caractérisés la particularité du Sénégal qui nous est tous cher. De grâce, taisons nos divergences pour aller à l'essentiel" conclura la notaire de renom, gagnant, encore à l'applaudimètre.
A noter qu'une forte délégation gouvernementale a représenté le chef de l'Etat. Avec à sa tête le ministre du budget Birima Mangara, il y'avait également le ministre Youssou Touré, le conseiller spécial du Président de la République Cheikh Mbacké Sakho entre autres.
Cette confèrence, qui avait pour thème: "éducation et médias pour un Sénégal émergent" a été rehaussé par la présence de l'illustre Sokhna Baly Mountakha Mbacké. Laquelle a été fortement remercié par Me Nafissatou Diop Cissé au même titre que la Première Dame, Mme Marième Faye Sall également représentée.

Décès et arrestations de sénégalais : Macky dépêche au Gabon son conseiller, Abdoulaye Sally Sall

http://www.seneweb.com Le président de la République a dépêché vendredi 24 juillet 2015 au Gabon, son conseiller personnel, Abdoulaye Sally Sall. En compagnie de l’Ambassadeur du Sénégal au Gabon, Madame Saoudatou Ndiaye Seck, il a été reçu par le Premier Ministre gabonais, en l’absence du Président Ali Bongo Ondimba, absent du pays.
Abdoulaye Sally Sall a remis au chef du gouvernement gabonais, un message du Président Macky Sall pour son homologue gabonais, Ali Bongo Ondimba. Devant la presse gabonaise, il a déclaré que ce message avait trait aux relations séculaires entre nos deux pays.
«Ces relations tissées depuis longtemps et développées par les dirigeants successifs des deux pays, ont été particulièrement consolidées par les Présidents Ali Bongo Ondimba et Macky Sall, deux chef d’Etat de la même génération qui entretiennent des relations privilégiées d’amitié et d’estime réciproques, et qui ont en partage la même vision du développement de leur pays, avec leurs plans respectifs que sont le Plan Sénégal Emergent (Pse) et le Plan Stratégique Gabon Emergent (Psge).
Abdoulaye Sally Sall soutient que les autorités gabonaises, sur instructions du Président Ali Bongo Ondimba, ont promis de tout mettre en œuvre pour élucider les circonstances du décès de notre compatriote Moustapha Kébé, au cours de sa garde à vie à la gendarmerie. Une enquête judiciaire a été ouverte et les autorités gabonaises se sont engagées à sanctionner les auteurs éventuels.
Déjà, dit-il, le Président Macky Sall a pris les mesures nécessaires pour le rapatriement de la dépouille mortelle au Sénégal.
Sur la situation des sans-papiers, les autorités gabonaises, soutient Abdoulaye Sally Sall, ont données des instructions fermes pour que nos compatriotes soient traités dans des conditions respectueuses de leurs droits et de la dignité humaine. D’ailleurs, l’Ambassadeur du Sénégal a pu les visiter pour s’assurer de leur bon traitement.
Les autorités gabonaises ont réitéré, fait-il savoir, leur disponibilité à trouver ensemble, avec les autorités sénégalaises, les solutions les plus appropriées aux problèmes des ressortissants sénégalais.

Idy bouscule Macky en France…Le Rewmi fait main basse sur la ville Hal Pulaar de Mantes-la-Jolie, bastion de l’APR

Xibaaru La ville Mantes-La-Jolie en France a toujours été considéré comme le fief de Macky parce que peuplée en majorité dans sa diaspora de Hal Pulaar. Eh bien le REWMI de Idrissa en France dit le contraire et enregistre une forte adhésion de sénégalais dans cette contrée estampillée APR. Selon le communiqué ci-dessous parvenu à notre rédaction dimanche, le REWMI élargit sa base à Mantes-la-Jolie…
Communiqué de presse Rewmi France
Dans le cadre de la massification du parti Rewmi en France, l’installation du bureau de la section de Rewmi Mantes-La-Jolie a eu lieu le samedi 25-Juillet-2015 sous la présidence du coordonnateur de la fédération de France M. Khalifa GASSAMA.

Les membres du bureau de Mantes-La-Jolie sont :
Coordonnateur : Jean Sylva,
Adjoint : Edouard Gomis,
Secrétaire générale : Raul Mendy,
Trésorier : Cheikh Dieng,
Mouvement des femmes : Claudine Pereira, Marie France Sylva ;
Responsable des jeunes et étudiants : Ibrahima Kao
Adjoint : Samuel Basse
Commission des cadres : Paul Mendy,
Commission des projets de développement et vie associative : Omar Correa
Commission massification et mobilisation : Thomas Gomis

Cette rencontre fut l’occasion pour Rewmi d’installer de la plus belle des manières ses bases à Mantes-La-Jolie qui est loin d’être la chasse gardée de l’APR comme certains veulent le faire croire. Avec le soutien sans faille en particulier de la communauté Manjaques, des Hal pulaar, des associations sportives et de l’ensemble des sénégalais, les Mantais ont promis de montrer aux responsables locaux de l’APR que ce n’est pas avec l’arrogance qu’ils vont marchander des postes de responsabilités sur le dos des honnêtes sénégalais de Mantes-La-Jolie.
Après la mise en place de la section, les militants ont débattu sur les questions d’actualités.
Rewmi France déplore avec tristesse, l’incompétence du président de la république qui n’est pas capable et n’a pas le courage de mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut comme le réclame l’ensemble de nos compatriotes. Le Président sur la base du népotisme et des considérations politiciennes voire ethniques nomme à des postes stratégiques des personnalités aux compétences douteuses et dont les valeurs morales sont réprimandées par l’ensemble des sénégalais. Cet état de fait constaté par tous, met à mal la réputation de notre pays au niveau international. Toujours à cause des nominations irresponsables de Macky Sall, l’Etat actuel du Sénégal personnifie l’incompétence aux yeux des citoyens alors que nos pères fondateurs ont toujours prôné l’excellence au sommet de l’Etat.
Rewmi France demande aux sénégalais de se lever contre ce danger qui n’est pas prêt de s’arrêter car à chaque conseil des ministres, le président de l’APR procède à des nominations visant à acquérir de nouveaux clients politiques et à encourager la transhumance au détriment des vrais talents de la nation.
Le président de notre parti Idrissa Seck à l’instar de tous les grands dirigeants de ce monde a compris que comme Jésus avec ses apôtres et le prophète Mohamed avec ses compagnons, tout leader doit accorder une importance capitale dans le choix des hommes qui l’entourent. Nous rappelons à Macky Sall, que, sans cette qualité du leadership, rien de grand ne sera accompli durant son mandat. Les Sénégalais vont certainement récupérer le pouvoir qu’ils lui ont confié, car il fait preuve d’une incompétence notoire, lui et son camp, depuis qu’ils sont à la tête de notre cher Sénégal.Mohamadou DIALLO Responsable communication et relation presse de Rewmi France Coordonnateur Rewmi Paris

MAMADOU WANE (SECRETAIRE NATIONAL ADJOINT A LA VIE POLITIQUE DU PS)‘’Ceux qui s’attaquent à Tanor ne rendent pas service à Khalifa Sall’’

http://www.enqueteplus.com Les attaques répétitives contre le secrétaire général du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng, ont fait réagir le secrétaire national adjoint à la vie politique du parti des verts. Mamadou Wane estime que ‘’ceux qui s’attaquent à Ousmane Tanor Dieng ne rendent pas service à Khalifa Sall’’. Dans cet entretien avec EnQuête, l’adjoint au maire des Parcelles Assainies assène ses vérités avant d’appeler le maire de Dakar à siffler la fin de la récréation, évitant ainsi la fragilisation de ‘’l’institution que représente le secrétaire général du PS’’.

Ousmane Tanor Dieng, le secrétaire général de votre parti, est de plus en plus contesté par certains responsables socialistes. Ces derniers lui reprochent sa gestion. Comment appréciez-vous cette situation ?

C’est une situation déplorable. Récemment, j’ai suivi avec attention certaines sorties fracassantes de certains responsables socialistes au rang desquels le maire de la Médina, Bamba Fall et celui de Dalifort, Idrissa Diallo. Je voudrais d’ailleurs à la suite de la sortie de ce dernier, rétablir un certain nombre de choses. Sa sortie m’interpelle doublement en tant que militant et en tant que responsable du parti chargé de la vie politique. A l’analyse du discours, j’ai vu des termes, des propos qui, à mon sens, ne devraient pas être tenus par un responsable de son calibre. Quand on parle de compromission, de récalcitrant, de tricherie et surtout d’escroquerie, je dis que c’est irresponsable, à la limite impulsif, ingrat et malhonnête. On ne peut pas s’attaquer personnellement et de manière très injuste à notre camarade, secrétaire général, Ousmane Tanor Dieng. Je rappelle que ce sont les militants socialistes, il y a un an, qui l’ont reconduit à la tête du parti, de manière triomphale à l’issue d’un congrès démocratique et transparent.

Mais le maire de Dalifort conteste dans ses propos la légitimité de ce congrès. Que lui répondez-vous ?

C’est un débat dépassé. Mais il refuse de grandir politiquement. Il refuse de prendre de la hauteur. Parce que ce qu’il évoque en parlant de ce congrès n’est pas fondé. Il s’est exprimé, il a demandé le report du congrès mais l’écrasante majorité des militants et responsables socialistes ont opté pour la tenue du congrès à la date retenue par le bureau politique. En démocratie, c’est la majorité qui l’emporte toujours. Sa position personnelle ne doit pas nous indiquer la voie à prendre. C’est un responsable qui s’est exprimé comme moi, comme Barthélémy Dias, Khalifa Sall ou un autre. Et le parti a décidé.

Le congrès a été précédé d’un vote. Et d’après certaines indiscrétions, c’est Aïssata Tall Sall qui a largement dominé Tanor à Dalifort. Qu’en est-il exactement ?

Cela n’est pas important. Et voilà où se situe le problème. Je l’interpelle pour qu’il prenne de la hauteur et qu’il dépasse ce faux débat. Nous avons dépassé le congrès et actuellement nous nous projetons sur l’avenir. Dire que tel candidat a gagné sa zone, tel autre a perdu, est insensé. Nous sommes 138 coordinations à travers le pays, une ou deux coordinations de perdu est un faux débat. Quand il dit que le camarade secrétaire général est son frère, moi j’en doute parce qu’il y a de ces propos, on ne les tient pas à l’endroit de son ami ou de son frère. Pourquoi poser le débat en des termes très durs ? Je voudrais, au-delà de la personne d’Idrissa Diallo, rappeler à tous les militants que le camarade secrétaire général est la plus haute autorité du parti. C’est une institution. Donc s’attaquer à lui, c’est affaiblir le Parti socialiste. Ceux qui s’attaquent à Ousmane Tanor Dieng ne rendent même pas service à Khalifa Sall. Et dire que je soutiens tel candidat ou tel autre candidat n’arrange pas la situation actuelle du parti. Nous devons faire bloc autour de notre secrétaire général et relever ensemble les défis du moment.

Il n’empêche qu’Idrissa Diallo ne fait pas mystère de son soutien à Khalifa Sall. Y-a-t-il du mal à soutenir quelqu’un en politique ?

On n’en est pas encore à la question de la candidature du parti pour les échéances futures. Il peut exprimer son soutien à qui il veut, c’est sa liberté. Mais nous avons un parti organisé, un parti discipliné et il faut qu’il y ait au minimum, une règle de conduite. Je trouve que ce n’est pas de cette manière qu’il faut poser le débat. Ousmane Tanor Dieng, quoi qu’on dise, reste et demeure le secrétaire général du parti. Il est d’ailleurs en train d’appliquer les décisions du parti.

Le débat que le maire de Dalifort et autres responsables socialistes posent est un débat de fond sur la candidature du Ps à la prochaine élection présidentielle. Quelle est la position définitive du parti par rapport à cette question ?

La position du PS par rapport à la prochaine élection présidentielle est claire et est déjà exprimée. Le parti aura un candidat. Maintenant qui sera-t-il ? On n’en est pas encore la. L’essentiel, c’est que tout le monde le comprenne ainsi. Depuis 1948, le PS ne s’est jamais absenté d’une élection. On a toujours été présent à toutes les joutes électorales. Donc il n’y a pas de raison de discuter de cela dès lors que le parti a déjà décidé qu’on aura un candidat. Nous ne savons pas encore quand est ce que le référendum aura lieu. Le PS avait exprimé son souhait que le référendum se tienne avant la fin de l’année 2015. Le président de la République veut l’organiser en 2016 et envisage même de saisir le Conseil constitutionnel dans ce sens. On ne sait pas encore si les élections auront lieu en 2017 ou en 2019. D’ailleurs, ce n’est pas la même attitude qu’il faut avoir si les élections devaient se tenir en 2017 ou en 2019.

Le président de la République semble maintenir le flou sur la date de la prochaine présidentielle. Est-ce que cela ne joue pas à votre défaveur ?

Le PS prépare une tournée nationale. Nous allons aller à la rencontre de nos militants à travers le pays. Nous sommes en train de discuter et de nous préparer. Les responsables n’ont qu’à travailler à la base, mobiliser leurs troupes, massifier et organiser le parti et rester à l’écoute du parti. C’est la période de l’hivernage qui gêne un peu par rapport à certaines zones, mais ce qui est sûr et certain, c’est que le parti va se déployer.

Est-ce que le parti est prêt actuellement à aller à des élections ?

Le parti est bien évidemment prêt à aller à des élections. Le parti est organisé. Il ne se limite pas seulement à Dakar. Le PS, c’est 138 coordinations qui ont des responsables qui ont été renouvelés. Il s’agit aujourd’hui d’unir le parti mais pas de tenir un certain discours qui tend à affaiblir le parti.

Est-ce que ce n’est pas, comme le soutient Bamba Fall, Ousmane Tanor Dieng qui entrave la bonne marche du parti socialiste ?

Ousmane Tanor Dieng n’a pas dit qu’il est candidat. Nous avons un processus clair et démocratique. Lorsqu’il s’agira de poser le problème de la candidature, un processus bien déterminé sera ouvert et connu de tous. A ce moment, il y aura un appel à candidature pour que ceux qui veulent être candidats du parti se signalent et les militants du parti vont voter librement.

Le maire de Dakar Khalifa Sall a-t-il des chances d’être investi candidat du PS ?

Khalifa Sall est un grand responsable du parti. Je voudrais d’ailleurs profiter de l’occasion pour l’interpeller directement. En tant que responsable national à la vie politique du parti, je lui demande de prendre cette question à bras le corps et d’apporter des réponses. Aujourd’hui, certaines personnes utilisent son nom pour s’attaquer au secrétaire général. Lui en tant que responsable du parti, il ne devait pas l’accepter, il ne doit pas le cautionner.

Donc selon vous, il doit siffler la fin de la récréation en demandant aux gens de se taire ?

Bien évidemment. Khalifa Sall doit siffler la fin de la récréation parce que ça commence à faire désordre. Ce n’est pas normal que des responsables se lèvent et s’attaquent au secrétaire général en bafouant la ligne édictée par le parti. Au-delà de sa personne, le parti est interpellé de même que tous les militants soucieux de son devenir.

Est-ce que cette situation ne traduit pas une crise interne ?

On ne peut pas parler de crise à l’intérieur du PS. Ce qui se passe, c’est qu’il y a quelques militants isolés qui, à la limite, défient l’autorité du PS. Dans un parti comme le PS, réputé être un parti organisé et discipliné, je peux comprendre qu’il y ait débat. Mais il y a une ligne qu’il ne faut pas franchir. De ce point de vue, j’en appelle à la responsabilité de tous les militants, de poser leurs questions en interne dans les instances du parti. Dès lors que ceux qui s’attaquent à Tanor sont des membres du bureau politique, ils peuvent poser le débat en interne pour qu’on puisse en discuter sereinement. Mais poser le problème à travers la presse et s’attaquer aux gens, je ne peux pas cautionner cela. Je demande à ces responsables de savoir raison garder. Ils ne doivent pas être pressés.

Votre compagnonnage avec l’APR dans BBY n’est-il pas en train de vous coûter la cohésion de votre parti ?

Nous sommes un parti souverain. Nous sommes membres de Benno bokk yaakaar et il faut se rappeler la raison pour laquelle nous avons décidé de travailler dans la mouvance présidentielle. Nous avions dit avant les élections, que si nous n’étions pas arrivés premier ou deuxième, on soutiendrait le parti de l’opposition qui arriverait au deuxième tour. Et nous avons soutenu Macky Sall en toute responsabilité avec un seul objectif, qu’Abdoulaye Wade dégage. Cela, nous l’avons réussi. En quoi BBY devrait aujourd’hui gêner ? Beaucoup d’entre les gens qui parlent sont élus sur les listes de BBY.

Jusqu’où comptez-vous aller dans votre compagnonnage avec Macky Sall ?

Nous attendons d’abord d’y voir plus clair pour décider. Ce qui est important, c’est que pour le moment, le PS est membre de BBY et compte rester dans cette coalition le plus longtemps possible. Il faut d’abord que le référendum se tienne pour pouvoir prendre une quelconque décision par rapport à notre compagnonnage avec BBY. Nous avons demandé à ce qu’il se tienne en 2015. Je pense que ce n’est pas bien d’attendre à 8 mois des élections pour le tenir. Il faut faire en sorte que tous les partis partent à armes égales aux prochaines échéances politiques.

Quel est votre avis sur la réduction du mandat présidentiel ?

C’est une exigence. Le président de la République a dit clairement qu’il réduirait son mandat de 7 à 5 ans. Le peuple l’attend.

Comment appréciez-vous la dernière sortie de la députée Aminata Diallo ?

Depuis quelques jours, je note ses sorties successives dans la presse. On ne peut pas être en phase avec elle tant ses propos sont excessifs, irrespectueux, prétentieux et provocateurs. Elle est indisciplinée. Ce qu'elle reconnaît d'ailleurs. Le Parti Socialiste est un grand parti ouvert qui tient ses débats dans ses instances régulières comme le Bureau politique dont elle est membre. Je suis persuadé, fort heureusement qu'elle ne parle pas au nom de Khalifa Sall qui un homme mesuré, responsable et discipliné. Il ne cautionne pas d'ailleurs les mouvements de soutien même s’il ne dit rien. Le candidat du parti sera choisi par les militants du Parti en temps opportun lorsque le processus de désignation sera lancé. C'est peine perdue que de vouloir mettre la pression sur le parti et ses responsables pour se déterminer maintenant alors que nous avons des préalables. Enfin, on ne peut pas être député de Benno Bokk Yakaar et dénigrer à longueur de journée BBY.PAR ASSANE MBAYE

Idrissa Diallo, maire Ps de Dalifort et soutien de Khalifa Sall: «Au Ps, on ne pose pas le vrai débat en interne»

http://www.seneweb.com Idrissa Diallo, le maire Ps de Dalifort ne mâche pas ses mots pour critiquer le secrétaire général du Ps, Ousmane Tanor Dieng à qui il demande de s’effacer au profit du maire de Dakar.
Invité de la Télé Futurs Médias, il estime que Ousmane Tanor Dieng doit s’éclipser et laisser la place à d’autres. «Je demande juste qu’il s’efface, ce qui ne met pas en cause son statut de secrétaire général qu’il tient de façon légitime. Mais, il avait dit qu’il ne serait pas candidat à la prochaine élection présidentielle. Alors, puisqu’il ne sera pas candidat, il n’a qu’à s’effacer pour celui qui doit venir», conseille-t-il.
«Aujourd’hui, il faut qu’on positionne le candidat du parti pour que les gens puissent se familiariser à son image. On reçoit des pressions de partout, les gens nous demandent pourquoi on ne se décide pas. C’est pourquoi on dit qu’il faut clarifier la position et les ambitions du parti».
Le député-maire demeure convaincu qu’à la direction du parti, les questions qui fâchent sont occultées à dessein. «Au Ps, on ne pose pas le vrai débat en interne. On se limite à soutenir que notre ambition, c’est l’accès au pouvoir.
C’est un flou total qu’il (Tanor) entretient. Il faut qu’on libère les gens et qu’on ne nous force pas des candidats fantaisistes qu’ils veulent créer pour barrer la route aux gens», prévient le député-maire de Dalifort, qui refuse d’être l’otage de certains responsables à la tête du parti : «Aujourd’hui, il y a un maximum quatre profils qui se dégagent au Ps et parmi eux, Khalifa Sall. Il faut que la direction du parti comprenne que nous sommes des responsables comme eux, on en a assez que les gens nous interpellent sur des questions auxquelles on ne peut pas répondre (…) Ce n’est pas une poignée de personnes qui va nous prendre en otage, nous étouffer», peste-t-il.

Ismaïla Madior Fall : “Je ne suis pas un mercenaire”

http://www.seneweb.com Invité de l'émission “Toute la vérité” de Sen Tv, le professeur Ismaïla Madior Fall crache ses vérités. “Je ne suis pas un mercenaire à la solde du pouvoir”, assène-t-il.
“Quand on est un universitaire, qu'on est au niveau de la société civile et qu'on participe à certains combats démocratiques comme je l'ai fait pendant de longues années, on apparaît plus comme étant un tribun, c'est à dire comme un défenseur des droits et libertés fondamentaux.
Evidemment, quand du jour au lendemain, vous êtes du côté du pouvoir, vous conseillez le président de la République, il y en a qui pensent que c'est un certain reniement”, analyse-t-il. Mais le conseiller juridique du chef de l'Etat tient à rappeler à l'opinion que “dans la vie, on peut changer de position, on gagne de l'expérience.
Et puis, ce qui est intéressant pour un universitaire, pour un professeur comme (lui) en conseillant le président de la République, c'est (de pouvoir) participer à la construction démocratique du pays”.
“Dans la vie, on change de position, on change de camp. L'essentiel, c'est de ne pas changer ses principes. Je ne me démarque pas de l'orthodoxie. C'est une opinion que les personnes sont libres de formuler parce qu'on ne peut pas intervenir dans l'espace public, sur des questions politiques, parfois pour expliquer des questions prises par le pouvoir et rester à l'abri des critiques. Je considère que je suis toujours attaché aux principes. Et le principe pour moi, c'est qu'il faut toujours éclairer l'opinion. Aujourd'hui, il se trouve que je défends une politique qui est celle du pouvoir. Les gens qui y voient un mercenaire ou un souteneur du pouvoir doivent savoir que ce n'est pas le cas, parce que moi que ce soit au pouvoir ou ailleurs, je vais toujours défendre et théoriser les principes allant dans le sens de la consolidation de la démocratie”, soutient-il.

Malick Gackou : « Le PSE ne peut pas développer le Sénégal »

http://www.ferloo.com « Le Plan Sénégal émergent (PSE) ne peut pas mettre le Sénégal sur les rampes du développement ». C’est l’avis de Malick Gackou.

Le leader du Grand parti a dit au cours de la première étape d’une tournée nationale de son parti entamé à Nguékhokh (département de Mbour) dimanche.

« Nous l’avons dit et répété que le PSE n’est pas à même de satisfaire aux desiderata du développement économique et social de notre pays. C’est la raison pour laquelle nous avons proposé pour notre prochain congrès, un mémorandum qui dégage les orientations principales et notre ambition », a soutenu Malick Gackou

Selon lui, « au Sénégal les populations souffrent et c’est une lapalissade que de le dire. C’est la raison pour laquelle « le Grand parti est né pour être le parti du développement… Nous avons fait un pari sur l’homme et nous voulons réhabiliter la croyance que les Sénégalais ont de l’action politique »

Malick Gackou a également été « agréablement surpris par « la formidable mobilisation des populations de Nguékhokh ». Junior

Encore des regrets pour le plus faux de l’arène politique : Gakou Promoteur (G.P)

http://www.leral.net Après avoir trahi son père spirituel, après avoir trahi Balla Gaye et Ahmed Aidara qui ont fait sa promotion, après avoir trahi les populations de Guédiawaye en choisissant le Conseil régional de Dakar en lieu et place de la Mairie de Guédiawaye, après avoir trahi Aliou SALL candidat de la coalition BBY dans laquelle il appartenait. Je préviens qu’il va encore trahir ses nouveaux collaborateurs de Parti une fois qu’il verra ses intérêts personnels ailleurs.
Et s’il ne dépendait que de lui il n’aurait pas ces conseillers municipaux dont sil se glorifie d’avoir débauché car il n’a jamais mouillé le maillot lors des élections locales et la preuve de ces allégations est qu’il a perdu son bureau de vote. Et je me porte à faux sur le nombre de conseillers dont il estime contrôler et sous peux nous lui apporterons une fois de plus la preuve de la fausseté de l’homme.

Ce Grand Promoteur n’a rien fait pour mériter la confiance des populations de Guédiawaye au contraire il mérite des sanctions. Je me demande ce qu’il a fait pour Guédiawaye sinon que de construire le plus long et plus beau immeuble à Guédiawaye pour vous dire que cet homme est même nuisible pour la société et en posant cet acte il prouve une fois de plus qu’il ne se soucie pas de la souffrance des populations.
D’ailleurs je demande à la CREI de s’auto saisir pour nous édifier sur les avoirs de ce poltron politicien qui n’osera jamais se présenter car il n’a ni vision ni ambition encore moins le courage de s’assumer politiquement.
Et qu’il retienne qu’un homme politique ne doit jamais regretté mais doit toujours assumé ses positions. Mamadou Yaya Ba
Coordonnateur de la COJER de Guédiawaye
Conseiller municipal à la ville de Guédiawaye
Chargé de mission à la Présidence de la République
Myba77
@yahoo.fr

De l’interdiction illégale de la sortie du territoire : j’ai honte du Président ! Par Oumar SARR

Oui, je dois le dire. Je dois l’avouer. Je dois l’écrire. J’ai honte du Président. Les raisons, je vais vous les expliquer et les illustrer très simplement à travers 3 dates.

1ère date : 13 juillet 2015

La Cour de justice de la CEDEAO a invalidé lundi 13 juillet 2015 le code électoral burkinabé qui interdisait aux soutiens de Blaise Compaoré de se présenter aux prochaines élections. Le gouvernement de transition du Burkina Faso a immédiatement affirmé qu'il se conformerait à cette décision.

Et pourtant…
Le 7 avril dernier, les députés du Conseil national de transition (CNT, le parlement intérimaire burkinabé) ont voté à une large majorité la modification du code électoral. L’article 135 de ce nouveau texte rend « inéligibles » toutes les personnes ayant « soutenu un changement inconstitutionnel portant atteinte au principe de l’alternance démocratique », ce qui excluait de fait les partisans de Blaise Compaoré des prochaines élections présidentielle et législatives, dont le premier tour est prévu le 11 octobre.

Promulgué trois jours plus tard par le président de transition du Burkina Faso, Michel Kafando, le nouveau code électoral a immédiatement déclenché une vive polémique au Burkina.

Criant au scandale et à une exclusion contraire aux normes démocratiques, sept partis de l’ancienne majorité, en tête desquels le Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP), le parti de Blaise Compaoré, avaient saisi la Cour de justice de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

La Cour de justice de la CEDEAO a estimé, dans son jugement en date du 13 juillet 2015, que les nouvelles dispositions du code électoral Burkinabé constituent une « violation du droit de libre participation aux élections ». Elle a donc ordonné de lever les obstacles à une participation aux élections consécutifs à cette modification.

La décision rendue par la cour de justice de la CEDEAO étant définitive et sans appel, et le Burkina Faso, en tant que membre de la CEDEAO étant tenu de se plier aux décisions de la justice sous régionale, le gouvernement du Burkina Faso a immédiatement déclaré qu’il appliquerait sans hésitation la décision de la CEDEAO. Quelle leçon !

2ème date : 22 Février 2013

Suite à des déclarations abracadabrantesques de Alioune NDAO, ancien procureur Spécial auprès de la CREI, lors d’une conférence de presse mémorable en octobre 2012, une dizaine d’anciens ministres et de hauts responsables de l’État sous la présidence de Maître Abdoulaye WADE sont interdits de sortie du territoire en toute illégalité sans qu’aucune procédure judiciaire n’ait été intentée contre eux. Karim M. WADE, Madicke NIANG, Ousmane NGOM, Abdoulaye Baldé et moi, au nom de tous les concernés, avions saisi la cour de justice de la CEDEAO pour cette violation manifeste de la liberté d’aller et de venir.

Dans une décision en date du 22 février 2013, la Cour de Justice de la CEDEAO a précisé sans équivoque :

1. L’article 101 de la Constitution du Sénégal confère un privilège de juridiction aux ministres et anciens ministres pour les actes commis dans l’exercice de leurs fonctions et que «…le rôle des poursuites incombe à la Haute Cour de Justice», ce qui rend le Procureur Spécial près de la CREI radicalement incompétent pour exercer des poursuites contre les ministres ayant exercé sous la présidence de Me Abdoulaye WADE.
2. L’interdiction de sortie du territoire sénégalais édictée par le Procureur Spécial contre une dizaine de ministres ayant exercé sous la présidence de Me Abdoulaye WADE est nulle et de nul effet puisque ne «… ne reposant sur aucune base légale».

3. L’Etat du Sénégal par les déclarations du Procureur Spécial près la CREI a «…violé la présomption d’innocence».

4. L’exécution de ses décisions n’est pas une faculté mais une obligation pour les États.

En dépit de ces dispositions univoques, l’État du Sénégal n’a pas obtempéré et a décidé de violer ses propres engagements internationaux ainsi que la Constitution que les citoyens ont librement adoptée. Le gouvernement de l’époque s’est même permis de demander à la CEDEAO de se limiter au domaine économique.

Une chasse aux sorcières sans précédent dans notre pays dirigée par le Macky Sall lui-même avait ainsi commencé. Sélective, elle avait pour unique objectif de neutraliser et d’écarter des adversaires politiques, de détruire le premier parti du Sénégal et l’opposition politique, et de renforcer son appareil politique avec les rebuts et autres poltrons de l’ancienne majorité.

3ème date : 19 mai 2015

Deux mois avant la prise de décision de la cour de justice de la CEDEAO sur le Burkina Faso, Macky SALL, a été élu, le mardi 19 mai 2015, lors du 47ème sommet de l’organisation à Accra, Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO. Il a immédiatement déclaré sur sa page facebook « En ma qualité de Président en Exercice de la Conférence, j’entends, avec l’appui de tous, relever les défis du développement, de la Paix et de la Sécurité qui nous interpellent ».
Tu parles ! Quel développement ? Quelle paix ? Comment peut-on l’obtenir sans démocratie ni libertés ?

Dans la même période, au mois de mai 2015, le gouvernement du Sénégal m’avait interdit illégalement de sortir et de participer, en ma qualité de député du Parlement Panafricain, à une session en Afrique du Sud dudit parlement, malgré un ordre de mission signé par le Président de l’Assemblée Nationale. Aucun respect des institutions. Le gouvernement exige, avant tout voyage, qu’on lui adresse une demande d’autorisation de sortie du territoire qu’il étudie alors que notre liberté d’aller et venir est garantie par la constitution ! Moi, personnellement, je lui ai demandé de lever cette mesure d’interdiction une fois pour toutes, et je ne lui adresserai plus jamais une si avilissante lettre de demande d’autorisation de sortie du territoire.

La Ligue Sénégalaise des Droits Humains (L.S.D.H.), Amnesty International/Sénégal, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) et ARTICLE 19/Afrique de l'Ouest ont appelé alors dans un communiqué "les autorités Sénégalaises à lever immédiatement la mesure d’interdiction de sortie du territoire Sénégalais qui pèse sur Oumar Sarr, coordonnateur du Parti Démocratique Sénégalais et tous les autres citoyens dans la même situation ».

Ces organisations avaient rappelé, ce que tout le monde savait
1. « qu’à ce jour aucune décision judiciaire soutenant une telle mesure n’a été notifiée à l’intéressé. Aucune procédure judiciaire n’est non plus ouverte à son encontre. Il s’agit par conséquent d’une interdiction de sortie du territoire purement administrative qu’aucun texte de notre droit positif ne peut autoriser ni légitimer. Elle viole les dispositions de traités régionaux et internationaux dont le Sénégal est partie notamment la Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le Pacte International relatif aux Droits Civils et Politiques".
2. « la Cour de justice de la CEDEAO a déjà jugé une telle mesure illégale et attentatoire aux droits fondamentaux des intéressés ».

C’est clair et limpide. Les organisations des droits de l’homme se sont prononcées, les partis politiques dans leur écrasante majorité se sont prononcés, le peuple, dans ses différentes manifestations publiques s’est prononcé mais lui, Macky SALL, il reste aveugle et sourd.

Le gouvernement fait du banditisme d’Etat. Tout le monde le sait. Voilà comment peu à peu un Président peut aller directement vers la CPI. Un cocktail de ces entorses associé à une révolte du pays amène inexorablement à la CPI. Le monde a changé. Pinochet est mort. L’ère des dictatures est définitivement révolue. Il commence à se faire tard, Monsieur le Président ! Ne vous amenez pas vous-même à la CPI !

Les thuriféraires du régime vont écrire et dire « si le coordonnateur du PDS n’avait pas écrit un tel article, le président aurait décidé de la mainlevée de ces interdictions, il avait déjà décidé de le faire. ». Merci, j’en ai déjà bu de ce thé là. De la diversion, rien que la diversion, du mensonge, rien que du mensonge !

Honnêtement, franchement, si Macky SALL n’a pas eu honte d’être Président en exercice de la CEDEAO après la prise de décision du gouvernement du Burkina Faso de respecter immédiatement la décision de la cour de justice de la CEDEAO et le refus obstiné du gouvernement du Sénégal de respecter la décision de cette même cour de la CEDEAO, moi, j’ai eu honte, j’ai honte pour lui, j’ai honte de lui.

Je suis, il est vrai, comme chacun le sait, un Panafricaniste et je respecte les institutions sous régionales et souhaite d’ailleurs qu’elles s’engagent plus résolument vers l’unification politique de notre continent. Mais comme citoyen sénégalais, j’ai honte. Macky SALL est Président en exercice de la CEDEAO et les autres pays ouest-africains lui donnent chaque jour davantage des leçons de démocratie et de respect des institutions.

Le Président en exercice de la CEDEAO refuse de respecter la CEDEAO, refuse d’appliquer les décisions de la CEDEAO, tue d’une certaine façon l’institution sous régionale pour ses propres intérêts politiques. Il refuse en plus aujourd’hui, en ce qui concerne Karim Wade, d’appliquer les recommandations des Nations Unies.

Par les différentes violations des droits de l’homme et le non respect de ses engagements internationaux, l’Etat du Sénégal se met, de fait, en marge de la légalité internationale et instrumentalise sa justice à des fins politiques sous prétexte d’une bonne gouvernance alors que la corruption n’a jamais atteint un tel niveau dans notre pays.

Trop, c’est trop. J’ai terriblement honte pour Macky SALL. Mais je n’ai pas le droit d’avoir honte pour le Sénégal. Il faut se lever et laver cette honte. Nous n’avons pas d’autres solutions. Nous n’allons pas laisser notre pays et notre démocratie mourir à petit feu, nous laisser enterrés debout.

Le monde doit savoir que nous nous battons pour les libertés, rien que pour les libertés. Nous nous battons pour le respect de notre constitution, pour l’application des décisions et recommandations des institutions régionales et internationales, le respect de la signature de l’Etat du Sénégal. Nous nous
battons pour la patrie et l’Afrique. Aucun sacrifice n’est inutile.

Comme on dit au Burkina Faso, « La patrie ou la mort, nous vaincrons.»Oumar SARR Secrétaire Général Adjoint, Coordonnateur National du PDS

Bousculé par Moriba Magassouba, Reed Brody lâche : "Je n’ai jamais dit que Habré a tué 40.000 morts"

http://mediafrik.com Le journaliste Moriba Magassouba a écrasé le Conseiller juridique de Human Right Watch Reed Brody. Il a été harcelé sur le plateau que l’américain a perdu son latin. Pour sortir des griffes de Magassouba, il s’est contenté de proférer des mensonges grossiers. A propos des 40.000 morts, Brody a déclaré : "Je n’ai jamais dit que Habré a tué 40.000 morts". Ainsi, c’est tout un château de mensonge qui s’effondre.

Me François Serres descend en flammes Sidiki Kaba : « C’est un manipulateur… On se demande ce qu’il a appris en matière de droit de l’homme et de justice internationale ?»

http://www.dakaractu.com L’un des avocats de l’ancien Président Tchadien, Hissène Habré, le français Me François Serres, a déversé sa bile sur le ministre Sénégalais de la justice Me Kaba qui a affirmé avant hier que la non comparution d’Idriss Déby à la barre des Chambres africaines extraordinaires serait à lier au fonctionnement de la justice pénale internationale.
Selon le garde des sceaux, en pareille situation, seul le plus haut responsable des faits incriminés est poursuivi.
Me Serres prenait part à la conférence de presse de la Plateforme Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme dirigée par le journaliste Sambou Biagui qui réclamait la dissolution des Chambres Africaines Extraordinaires « incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable, mais aussi la relaxe sans délai du Président Hissein HABRE ». Elle a par ailleurs plaidé pour la mise sur pied d’un Tribunal Pénal Africain pour juger les faits au Tchad de 1960 à 2015.
Pour l’avocat Français, cette déclaration de Sidiki Kaba est une farce de mauvais goût.« Aujourd’hui on est surpris de voir Sidiki Kaba campé, non pas comme ministre de la justice, cela sont des habits qu’il a depuis longtemps jetés, pour se positionner une fois de plus comme avocat des parties civiles, des prétendues victimes. Et main dans la main avec Reed Brody qui est son mentor juridique, prétendre qu’il ne convient pas de s’interroger sur la responsabilité de Idriss Déby, qu’il convient de considérer comme un simple exécutant. »
Et il a encore dit : « Sidiki Kaba est un menteur, un truqueur, un manipulateur comme Brody. Alors cette histoire est une farce, il est Président aujourd’hui de la CPI et pourtant on se demande ce que Sidiki Kaba a appris en matière de droit de l’homme et de justice internationale. »
Pour le Président de la plateforme, Sambou Biagui, le Ministre de la Justice du Sénégal, Me Sidiki KABA doit cesser toute ingérence dans le fonctionnement des Chambres Africaines. Car« ses interventions médiatiques pour innocenter le président DEBY sont manifestement troublantes. »

MORT DE MATY MBODJ :L’enquête avance à pas de géant

http://www.enqueteplus.com L'enquête policière pour élucider les circonstances de la mort du mannequin Maty Mbodj avance à grands pas. Des sources bien au fait du travail des enquêteurs font savoir que les policiers semblent être sur de bonnes pistes, après avoir déjà entendu plusieurs personnes ayant croisé le chemin de la défunte Maty, peu avant sa mort. Une longue liste de personnes à auditionner est sur la table du commissaire de la Sûreté urbaine de Dakar.

Selon nos sources, c'est près d'une dizaine de personnes qui vont être entendues ce lundi 27 juillet 2015, par les limiers de la très discrète mais efficace Sûreté urbaine. Or, apprend-on, beaucoup de ces individus qui intéressent la police ont la particularité d'appartenir aux milieux sélects de Dakar. C'est notamment le cas du top model Adja Diallo qui a déjà été entendue et qui devrait de nouveau l’être. Elle est sur la liste des personnes à cuisiner à nouveau. Mais l'indice le plus intéressant est que presque toutes les personnes pistées dernièrement par la Sûreté urbaine ont eu maille à partir, à des degrés divers, avec la justice. Les limiers ‘’connaissent le problème, les acteurs et même les remèdes’’, assure un indicateur proche de ces milieux…

La police a surtout réussi à reconstituer la soirée ayant précédé la mort du jeune mannequin qui aurait fait un tour dans certains endroits huppés des Almadies avec certaines de ses copines avant de rentrer tard chez elle. A ce niveau, les policiers sont maintenant en train de mettre un visage sur la ou les dernières personnes ayant été vues avec la défunte Maty Mbodj quelques heures avant sa mort. C'est pourquoi les agents de la Sûreté urbaine explorent toutes les pistes y compris celles du voisinage immédiat dans le domicile de la Zone A où le mannequin Maty Mbodj a été retrouvée morte.

Il faut dire que Diakhou Diagne, la mère de Maty Mbodj, rejette la révélation faite par certains quotidiens dakarois au cours du week-end mettant en exergue une overdose qui aurait été fatale à sa fille. Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que dès ce lundi, plusieurs zones d'ombre pourraient très vite disparaître puisque les policiers sont tout près de mettre le doigt sur ce qu'ils cherchent afin de dissiper tout le mystère autour de cette disparition tragique.

Ce qui est sûr, c’est que dans ce milieu qui intéresse la Police, ça sort tous les soirs ou presque, dans des circonstances presque volcaniques, aux Almadies, ‘’avec beaucoup d’Euros ou de billets verts’’. Ce, dans l’axe allant du Rond Point de la Corniche des Almadies à l’aéroport… Allez savoir ce qui s’y passe le soir, très tard…

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